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les infecté.e.s

scourge of the new world

Les infecté.e.s est un terme populaire employé par les survivant.e.s de la pandémie pour désigner l'ensemble des humain.e.s touché.e.s par l'infection du cordyceps. Tous les genres et tous les âges sont des cibles de choix pour le champignon qui ne cherche qu’un hôte viable pour proliférer et se développer. Et, malgré de très très rares exceptions, tout le monde est susceptible de succomber à l’infection, quelle que soit sa condition de santé ou ses antécédents médicaux. Il n’existe, à l’heure actuelle, aucun cas d’immunité recensé et les recherches pour le développement d’un vaccin demeurent infructueuses.


what is it


Plus nombreux que les survivan.t.e.s (on parle de plus de 60% de la population mondiale qui fut infectée par le cordyceps au moment de la pandémie), les infecté.e.s n’ont pas d’esprit d’équipe et leur rassemblement tend davantage de l’appât d’une infection que d’une véritable entraide. Iels ne semblent pas non plus communiquer entre elleux et aucune agressivité envers leurs semblables ne fut jamais observée. C’est comme s’iels étaient invisibles aux yeux de leurs semblables infecté.e.s.

Leurs corps ayant subi d’étranges mutations, les infecté.e.s sont facilement identifiables, notamment au dépassement du deuxième stade de l’infection. Des excroissances poussent alors de leurs orifices faciales (yeux, nez, bouche, oreilles – parfois même du crâne) tout en changeant drastiquement leur apparence physique. Iels ne sont, alors, plus qu’un spectre de ce qu’iels étaient autrefois, une sorte d’hybridation entre le genre humain et le champignon.
dégradation On note également une importante dégradation de leurs dents qui pourrissent ou s’effritent avec le passage du temps. Pendant certains stades de l’infection, on note également que le corps de l’infecté.e peut devenir bioluminescent, ce qui ne le rend pas moins dangereux.se.
De plus, le cordyceps semble offrir aux infecté.e.s une certaine résistance aux éléments, ces dernier.ière.s ne ressentant pas le froid (bien qu’iels craignent le feu). De plus, les excroissances sur leurs corps semblent leur offrir une résistance aux blessures dites classiques, ainsi qu’aux dommages corporels en général.


infection


Pour que l’infection se propage, un contact direct avec un.e infecté.e est nécessaire; de fait, leurs cadavres demeurent hautement contagieux puisque le champignon continue de relâcher des spores dans l’air, même une fois le corps dans un état de décomposition avancée. Le corps d’un.e infecté.e servira toujours de terrain d’élevage pour que le champignon puisse proliférer. Ainsi, à l’approche de sa mort, un.e infecté.e aura le réflexe instinctif de trouver un endroit sombre et humide pour y mourir afin que le champignon, lui, puisse continuer de croître et ainsi accomplir sa perpétuelle quête de transmission et d’infection.
post-mortemÀ savoir que les victimes mortes qui entrent en contact avec l'infection ne subissent aucune transformation, contrairement aux idées reçues. Les morts ne reviennent pas à la vie, même si leurs corps deviennent la proie du champignon.


Les principaux symptômes de l'infection du cordyceps sont une fièvre fulgurante, de la toux, des écoulements (principalement du sang) par les yeux, le nez et les oreilles et une détérioration du comportement, qui tend alors vers une soudaine agressivité. Les stades de l'infection se manifestent deux jours après la morsure (et/ou l’inhalation de spores) et sa progression peut varier d'un.e individu.e à un.e autre. Jusqu’à présent, quatre (04) différentes étapes de l’infection ont été observées, chaque stade étant plus dangereux que le précédent. Les étapes supérieures de l'infection ne surviennent pas toujours, comme l’indique le grand nombre de coureurs de la région de Laramie, dans le Wyoming, n’ayant jamais dépassé le premier stade de l’infection. On ne connait toujours pas les conditions qui favorisent la croissance du champignon à l’intérieur du corps de son hôte, mais aucune piste n’est écartée.

Lorsqu’iels sont infecté.e.s, les individu.e.s perdent progressivement toute capacité à penser librement et/ou à se comporter rationnellement, en raison du champignon qui se propage dans leur cerveau. S'appuyant sur des instincts déformés, les infecté.e.s tenteront d'attaquer et/ou de manger tout être humain qu'iels trouvent dans l’unique intention de propager le champignon. Cela devient d’autant plus marquant aux stades trois (03) et quatre (04), lorsque leurs caractéristiques humaines commencent à cesser d'exister entièrement (par exemple, les sentiments, les pensées, etc.). Iels tombent alors dans leurs instincts les plus primitifs, attaquant n'importe qui ou n’importe quoi qui les dérangerait, comme une sorte de moyen de protéger leur territoire. Privé.e.s de parole et/ou de jugement, il est impossible de raisonner un.e individu.e infecté.e, dès lors que son cerveau est atteint par le cordyceps.





Dernière édition par Admin le Dim 14 Aoû - 21:47, édité 2 fois

descriptionII. LES INFECTÉ.E.S EmptyRe: II. LES INFECTÉ.E.S

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stades de l'infection

from one to four

Plusieurs stades infectieux ont été observés, depuis le début de la pandémie. Des stades qui ont donné lieu à des dénominations pour les créatures engendrées. Aujourd'hui, les stades s'élèvent au nombre de quatre (04), et varient en dangerosité.


stade 1 — les coureurs


Premier stade de l'infection des victimes du cordyceps, les coureurs sont la menace la plus répandue à travers le territoire des États-Unis. Dès que le champignon prend possession de l'hôte, les personnes deviennent très irritables et hostiles envers les autres. Les yeux sont rapidement ciblés par le fongus, bien qu'iels conservent une bonne vue. Iels conservent également une apparence humaine. Rapidement distingué.e.s (physiquement) d'une personne non-infecté.e grâce à leurs yeux injectés de sang ainsi que les stigmates sur leur visage, iels se tiennent souvent en position debout lorsqu'iels sont immobiles ou lorsqu'iels se déplacent. Les coureurs ont également le réflexe de se regrouper en horde pour attaquer leurs victimes. Lorsqu’iels n’attaquent pas, les coureurs ont la particularité de gémir de douleur, en réaction au cordyceps qui grandit dans leur corps et qui le déforme lentement.
fréquence d'apparition — haute.
dangerosité — modérée à dangereuse.
apparence — humaine.
faiblesse(s) — le feu, les coups portés à la tête peuvent leur être mortels.
Il y a également cette idée populaire que les coureurs sont toujours conscient.e.s, mais incapable de contrôler leurs corps.


stade 2 — les rôdeurs


Deuxième stade de l’infection des victimes du cordyceps, les rôdeurs sont les tous premiers des infecté.e.s à subir des mutations génétiques importantes. Beaucoup plus féroces et organisés que les coureurs, les rôdeurs sont reconnaissables par les croassements distincts qu’iels produisent en plus de posséder une première excroissance du champignon à l’extérieur de leur corps (souvent sur le crâne et/ou sur le visage). Iels utilisent également une forme primitive de géolocalisation pour repérer leurs victimes, ce qui leur vaut une réputation sournoise. En effet, iels ont pour mode opératoire de se cacher et d’embusquer leurs victimes. Au bout d’un certain temps (on ignore exactement quand), les rôdeurs entrent dans un état léthargique au sein des fonges, dans les endroits sombres et humides.
fréquence d'apparition — moyenne.
dangerosité — considéré.e.s comme très dangereux.ses.
apparence — hybride.
faiblesse(s) — le feu, coups mortels portés à la tête.
 En revanche, iels ne tombent pas totalement inactif.ve.s, demeurant alertes et susceptibles d’attaquer s’iels sont dérangé.e.s.


stade 3 — les claqueurs


Troisième stade de l’infection des victimes du cordyceps, les claqueurs apparaissent moins humain.e.s que leurs stades inférieurs; leurs visages sont complétement inclinés et marqués par un champignon développé dans le cerveau d’un infecté.e. Les plaques fongiques et excroissances se sont adaptées pour garder l'hôte et le pathogène vivant afin qu’il puisse se propager. Extrêmement dangereux et beaucoup plus agressifs que les individu.e.s des stades inférieurs, les claqueurs ne résistent plus au champignon puisque leur humanité a été complètement éliminée au détriment de leurs instincts primitifs. Iels ne sont plus qu’un amas de chair (et de champignons) prêts à attaquer tous.tes celleux qui bougent.
fréquence d'apparition — peu élevé - rare.
dangerosité — mortellement dangereux.ses.
apparence — hybride.
faiblesse(s) — il est possible de les vaincre au corps à corps, bien que cela demeure extrêmement difficile; il est préférable de les éviter et/ou de les contourner. Les plus efficaces en raison de leur létalité sont les armes à feu ou les armes contondantes.
Iels semblent également posséder une intelligence plus élevée que leurs semblables, capables de localiser la source d'un son à l'aide d'un système de géolocalisation sophistiquée (c’est d’ailleurs ce son distinct, soit celui des claquements des plaques fongiques, qui leur vaut leur nom). De plus, iels ont le réflexe de vérifier les coins et les recoins pour débusquer des victimes potentielles.


stade 4 — les colosses


Quatrième stade de l’infection des victimes du cordyceps, les colosses sont considérés comme les infecté.e.s les plus dangereux.euses de l’infection. On pense que la métamorphose de leur corps peut prendre jusqu’à une décennie d’évolution, ce qui les rend d’autant plus rares. Leur corps boursoufflé est couvert de champignons épais qui agissent efficacement, comme une armure. Grâce à ce revêtement de protection, ils peuvent résister à de multiples armes comme le fusil de chasse, et même les hachettes et les machettes, ce qui les rend extrêmement difficiles à éliminer. Les colosses sont extrêmement agressifs, mais ils sont plutôt lents, ce qui les rend plus prévisibles que les autres. Comme les Claqueurs, les Colosses peuvent "voir" en utilisant l'écholocalisation pour localiser et piéger un.e survivant.e, leur grognement sera plus rauque. Comme le champignon a complètement déformé leur visage et les a aveuglé, leur système d’écholocalisation est beaucoup moins raffiné que les Claqueurs.
fréquence d'apparition — rare.
dangerosité — mortellement dangereux.ses.
apparence — monstrueuse.
faiblesse(s) — iels sont plus lent.e.s que leurs stades inférieurs et leurs mouvements sont plus prévisibles. Le feu leur créer un sentiment de paniquer incontrôlable, il est donc suggéré de les incendier pour les fuir.
Iels sont également connu.e.s pour jeter des sacs de mycotoxine, une toxine produite par de nombreux autres champignons. Le sac explosera à l'impact, avec pour intention de pulvériser la cible avec la toxine. La mycotoxine est mortelle, acide au contact, mais n’est pas considérée comme contagieuse; être touché.e par un sac de mycotoxine n’entraîne pas forcément une infection au cordyceps.


stade X — les puants


Difficilement considéré comme le cinquième stade de l’infection des victimes du cordyceps, les puants sont parfois réputé.e.s pour n’être qu’une phase alternative du quatrième de l’infection. Les avis divergent, mais tous.tes s’entendent sur la dangerosité de la variante. Globalement moins résistants que les Colosses, iels ont une carapace fongique moins épaisse et des réflexes encore plus lents. Iels possèdent de nombreux sacs de mycotoxines sur leur corps et en aspergent quiconque se trouve à leur portée. Leur bouche étant recouverte de champignons et/ou de plaques, iels ne peuvent pas mordre leurs victimes comme le ferait un claqueur, mais lorsqu'iels se trouvent à portée d'un.e ennemi.e, iels n'hésiteront pas à l'attraper avec leurs bras pour ensuite les asperger de mycotoxines, ce qui s’avérera toxique pour leur victime.
fréquence d'apparition — rare.
dangerosité — létale.
apparence — monstrueuse.
faiblesse(s) — peu connue(s), il est toutefois conseillé de les attaquer à distance ou de les surprendre à l'aide de pièges explosifs ou de cocktails molotov.
Lorsqu'un.e puant.e meurt, iel laisse exploser violemment tous les sacs de mycotoxines sur son corps avant de rendre son dernier soupir; iel est donc conseillé de rester à distance. Ces sacs, comme ceux des colosses, lorsqu'ils explosent, en plus d'être corrosifs, troublent la vue et brûlent la peau comme de l'acide.


les cadavres


Même après la mort d'un.e individu.e infecté.e, le champignon continuera de croître. Il pousse dans les grandes plantes fongiques qui naissent tout autour du corps. À ce stade, le cadavre devient squelettique et fragile et fusionne avec la surface contre laquelle il se trouve. Le cordyceps commencera alors à émettre des spores qui infecteront quiconque les respire. Ils sont communément trouvés dans des endroits souterrains, clos ou humides tels que les égouts et les sous-sols.


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