Face à la pandémie et l'inefficacité du gouvernement américain à procurer des vaccins à la population,
l'armée renverse le gouvernement civil pour s'occuper de la défense du pays en s'organisant sous le nom de FEDRA (vo. The Federal Disaster Response Agency). La plupart des grandes villes américaines furent transformées en
zone de quarantaine, desquelles la population avait interdiction de fuir sous peine d’importantes sanctions. Les survivant.e.s de l'extérieur étaient alors
tous.tes suspecté.e.s d'être de potentiels vecteurs de contamination. La grande majorité d'entre elleux sont tué.e.s pour éviter les risques et les villes moins peuplées sont bombardées pour contenir, au maximum, les infecté.e.s.
Rapidement, La FEDRA a instauré
la loi martiale et tous.tes les civil.e.s des zones de quarantaine furent réquisitionné.e.s pour travailler et participer aux efforts de guerre contre des cartes de rationnement, la nouvelle monnaie en vigueur. Au fil des années, beaucoup de ces
zones protégées tombèrent en raison du manque de provisions, de nouvelles explosions épidémiques ou tout simplement de la révolution des civil.e.s contre ce nouvel état policier. Aujourd'hui, seule une poignée de villes vivent encore dans un semblant de paix, sous la dictature et la rigidité de la FEDRA.
cheyenne Généralement situé dans des zones stratégiques de la ville, le dernier quartier sous l'autorité de la FEDRA dans la ville de Cheyenne se trouve dans l'arrondissement historique de la ville, avec pour rue principale Lincolnway. Plus petites que les autres zones de quarantaine répertoriées dans le pays (Atlanta, Boston, Chicago, Seattle, etc), Cheyenne encourt.
La réaction de la population face aux infecté.e.s a été
catastrophique. Alors que le champignon infectieux s'emparait de la majorité des humain.e.s à sa portée, la propagation a engendré beaucoup de ravages et de panique sur de plus en plus de territoires infectés; rapidement, la pandémie mondiale provoqua
l’effondrement total des institutions et la destruction de la société. Dans un état de violence généralisée, les survivant.e.s se sont morcelé.e.s dans l'unique but d'améliorer leurs chances de survie. Plusieurs ont fui la ville, beaucoup se sont réfugié.e.s en campagne, mais tous.tes n'étaient
pas égaux.ales devant les répercussions de la maladie. Les soins prodigués étant inefficaces, les populations les plus pauvres et les plus isolées ont été les premières victimes du cordyceps.
L'échec de la loi martiale étant constaté dans plusieurs secteurs pour contenir l'épidémie, les militaires se sont montrés de plus en plus pointilleux.euses et ont redoublé d'effort pour censurer l’information scientifique. En contrôlant l'information,
iels espéraient calmer les esprits échauffés et les théories complotistes en tout genre naissants chez les survivant.e.s dans les zones de quarantaine.