THE END OF THE F WORLD
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

THE END OF THE F WORLDConnexion

tlou

Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

descriptionV. LES GROUPUSCULES & FACTIONS EmptyV. LES GROUPUSCULES & FACTIONS

more_horiz
les factions

bigger is the world

les factions et groupuscules dans ce sujet, vous trouverez toutes les informations relatives aux différents groupuscules qui peuplent les Etats-Unis de cette nouvelle ère, et plus particulièrement les groupes actifs dans le Wyoming.


all the people out there


— Les Seraphites
petit résumé rapide

Les Séraphites sont un groupe de survivant.e.s réunis autour d'un culte fait à une prêtresse. Culte religieux visant à renier les technologies les plus modernes et revenir à un mode de vie plus primitif. Agriculture, chasse, pêche, ce sont des valeurs qu'iels portent avec elleux, en plus de cette violence exacerbée qui se retrouve dans nombre de leurs méthodes.


— la FEDRA
petit résumé rapide

Organisme gouvernemental, vestige et ruine de ce qu'était le gouvernement américain, c'est l'autorité en place depuis l'établissement de la loi Marshall et la création des Zones de Quarantaines. Militaires, scientifiques, citoyen.ne.s, iels sont tous rallié.e.s derrière les ruines du gouvernement.


— WLF
petit résumé rapide

Organisme ayant pris possession des territoires de la FEDRA à Seattle, c'est un groupuscule ayant décidé de se dessouder du groupe originel pour pouvoir rejoindre le Wyoming.


— les Lucioles
petit résumé rapide

Organisme en combat direct avec la FEDRA, dont l'objectif principal est de trouver un vaccin au virus ayant causé la pandémie mais également de bousculer l'état Marshall imposé sur les Etats-Unis, en venant chercher des noises à la FEDRA.


— les Crotales
petit résumé rapide

Groupe réputé pour sa violence, originaire de Santa Barbara, il constitue un groupe de bandits des grands chemins, terrorisant les petites villes et petites communautés, saccageant tout sur leur passage.


— Jackson City
petit résumé rapide

Communauté implantée dans le coeur du Wyoming, il s'agit d'un groupe auto-suffisant, possédant leurs propres champs et leur propre bétail afin de faire perdurer la vie, en plus de l'utilisation d'une centrale hydroélectrique qui est un atout non négligeable.


— Solitaires
petit résumé rapide

Vagabond.e.s ayant décidé que la vie seul.e était préférable à rejoindre un groupuscule et accepter des idéologies pas forcément similaires, iels parcourent les villes et les villages, les terres et les campagnes, essayent de survivre du mieux qu'iels le peuvent.


— les Lost Boys
petit résumé rapide

Enfants esseulés par les tords de la FEDRA, les Lost Boys sont un groupe de jeunes adultes et adolescent.e.s ayant eu leurs rêves brisés par la FEDRA. Des ancien.ne.s étudiant.e.s derrière les bancs militaires de l'organisme fédéral qui croient en une vie meilleure, un monde meilleur.


— les Civils
petit résumé rapide

Habitant.e.s de Zone de Quarantaine ou encore d'autres communautés, iels sont ce qu'il y a de plus commun dans ce monde où tout est prompt à la violence.







Dernière édition par Admin le Lun 15 Aoû - 9:33, édité 1 fois

descriptionV. LES GROUPUSCULES & FACTIONS EmptyRe: V. LES GROUPUSCULES & FACTIONS

more_horiz
la FEDRA

feel the disaster

la FEDRA, aussi appelée l'Agence Fédérale de Réponse aux Catastrophes, est une organisation fédérale et gouvernementale amalgamée avec l'armée américaine comme une autorité de pouvoir sur les zones de quarantaine. La FEDRA s'institue comme l'un des derniers vestiges du gouvernement américain avant la pandémie, aux côtés du département de la défense et du CDC qui officient encore par petits groupuscules survivants.


les origines


Autorité de poids depuis que la pandémie s'est déclarée, la FEDRA agit comme seule gouvernance des zones de quarantaines mises en place dans les différentes villes ayant survécu au passage des infecté.e.s. Ces dernières, au nombre bien diminué, sont généralement cantonnées à des quartiers de ville, puisque récupérer une ville entière est devenu un véritable chemin de croix que les autorités ne sont plus en mesure de faire. Des villes comme Boston, Atlanta, Denver ou Cheyenne sont les seules véritablement recensées comme encore tenantes aujourd'hui, avec des zones de quarantaines dites sécurisées. Seattle, Pittsburg ou encore Salt Lake City figuraient parmi ces différentes villes, mais elles ont finies par tomber, aux mains du WLF pour Seattle ou d'autres bandits et pillards pour Pittsburg et Salt Lake City.

Lorsque la pandémie s'est déclarée en 2013, la FEDRA a été très largement déployée pour remplacer le cabinet gouvernemental à la direction du pays. Une loi martiale fut déclarée, laissant le pouvoir aux militaires uniquement. C'est notamment dans la volonté de contrôler l'épidémie et de préserver les vies saines que la création de zones de quarantaine rentra en vigueur. La FEDRA commença à employer ailleurs que dans le domaine militaire, donnant l'opportunité à des civils lambda de pouvoir aider, à différentes échelles ; que ce soit pour la bureaucratie classique que pour de l'infographie sur la prévention du virus.
Guerrillas Entre 2013 et 2039, la FEDRA et les ZQ ont subit de nombreuses attaques et émeutes au sein de leurs propres murs, à différentes échelles, et par différents groupes. Malgré son utilité publique et l'aide apportée afin d'aider les survivant.e.s ne pouvant se débrouiller par eux-mêmes, l'autorité n'a pas toujours fait l'unanimité. De nombreux conflits ont alors germé, que ce soit avec les civils eux-mêmes qu'avec des organisations comme le WLF ou les Lucioles.
Les civils des zones de quarantaines sont, de toute évidence, appelés à contribuer à la vie de la zone, d'une manière ou d'une autre.

Le pouvoir de la FEDRA s'est largement amoindri au cours des années, supplanté par les autres organisations et groupuscules prenant du galon, donnant lieu à de sévères conflits au sein des villes, des guerres de territoires, des raids sur les zones de quarantaine et des émeutes.




vie en ZQ


Loin d'être un camp de vacances, les zones de quarantaine sont à l'image de l'institution qui les gouverne. On parle là d'une vie sous l'égide militaire, avec la présence de couvre-feu, rationnement alimentaire, éducation stricte, service militaire obligatoire et surtout, à défaut de travailler pour la FEDRA elle-même, un travail bi-annuel demandé pour chaque citoyen.ne. Personne n'y échappe. La propagande pour rejoindre l'armée y est forte en raison de l'état martial appliqué. Par ailleurs, ces dernières sont administrées par de hauts niveaux de sécurité. Des soldats et des checkpoints sont disséminés dans différents lieux clés de la zone, autour de hauts murs de près de neuf mètres de haut autour desquels des patrouilles sont régulièrement en vadrouille ; autant pour empêcher les civils de s'échapper que pour vérifier l'arrivée d'infecté.e.s.

caractéristiques armées

D'un point de vue de l'armement, la FEDRA a bénéficié des forces armées des Etats-Unis et de tous les stocks encore disponibles au moment de l'épidémie. Armes à feux, chars, voitures blindées, bombes et autres armes et technologies modernes sont au rendez-vous. L'éventail d'armes est aussi varié que l'armée américaine en possédait à l'époque, allant du simple revolver jusqu'au lance-roquettes, même si ceux-ci sont, depuis longtemps, hors d'usage et indisponibles en raison de l'utilisation contre les infecté.e.s lors des débuts de l'épidémie. De même, les bombes ont été utilisées sur de nombreuses villes, dont Seattle, pour essayer d'achever les hordes qui fonçaient sur les zones de quarantaine. On peut encore retrouver quelques véhicules blindés et autres vestiges de cette période charnière de l'épidémie. De plus, il est encore possible de trouver des armures et autres équipements de défense ayant appartenu à la FEDRA, comme des boucliers anti-émeute. Ceux-ci sont encore utilisés par la FEDRA, mais également par celleux venant piller les vestiges des soldats dans les zones abandonnées par l'institution.




aujourd'hui


2039 Si Cheyenne n'a pas préfiguré dans les premières villes à bénéficier de la sécurité par la FEDRA, elle a néanmoins été reprise assez rapidement lors des premiers mois de l'apocalypse. Comme pour toutes les zones de quarantaine, celle de Cheyenne est à l'égale des autres, la FEDRA officiant sur un seul quartier de la ville, dans lequel se trouve plusieurs checkpoints pour en sortir ou y entrer. La sécurité est d'autant plus renforcée ces derniers mois depuis l'apparition de membres des Séraphites ou encore des raids pratiqués par les Lucioles. Toutefois, la FEDRA n'a pas les ressources requises pour étendre leur territoire au sein de la ville, restant ainsi centrée sur leur seul et unique quartier.



descriptionV. LES GROUPUSCULES & FACTIONS EmptyRe: V. LES GROUPUSCULES & FACTIONS

more_horiz
les lucioles

feel the light

les Lucioles sont un groupuscule de survivant.e.s ayant pour motivation première de trouver un remède contre le virus du cordyceps, et ce, par tous les moyens. En plus d'être donc composé de scientifiques, ce groupuscule est également une milice populaire cherchant à contrecarrer et se rebeller contre la loi martiale et la FEDRA, organisant attentats et raids.


les origines


Comme de nombreux groupuscules, le groupe des Lucioles trouva sa création en 2013, à Boston, lorsque la pandémie éclata dans le monde et que l'état martial fut déclaré aux Etats-Unis, avec la création de zones de quarantaine. L'une de leur première demande était notamment le retour de toutes les branches du cabinet gouvernemental, pour terminer l'état martial. En vain, puisque plusieurs membres des Lucioles furent exécutés suite à cette protestation. Si les Lucioles sont devenus l'ennemi numéro un aux yeux de la FEDRA, les civils étaient plus qu'enclins à croire aux propos annoncés par le groupe. Un support civil qui ne s'arrêta pas aux premiers mois, mais s'étendit sur plusieurs années, en créant des émeutes et autres attentats veillant à déstabiliser les forces militaires en place dans les zones de quarantaine. Dans certains cas, comme celui de Pittsburg, les émeutes ont été si violentes que les Lucioles ont fini par fuir et laisser la ville aux civils, appliquant ainsi cette loi universelle en période d'apocalypse : la loi du plus fort.
look for the light Slogan scandé et proclamé par les Lucioles, cherche la lumière est une référence à la luciole qui prend l'emblème du groupe. Tagué dans des coins obscures, derrière des affiches et d'autres éléments, c'est l'élément déclencheur pour trouver des Lucioles, et par le passé, la reine des Lucioles, Marlene.
Dans le cas de Seattle, les Lucioles gardèrent un contact certain avec le WLF, les relations bien plus amicales qu'elles n'auraient pu l'être.


un vaccin pour le monde — Idée qui a germé dans le crâne de la personne ayant fondé le groupe, cette croyance n'a eu de cesse de croître : l'idée qu'il puisse exister et qu'il existe un véritable remède capable de soigner cette infection. Leur laboratoire principal fut même installé à l'Université de l'Est du Colorado, pendant un temps, lorsque la FEDRA commença à chasser les Lucioles des autres villes. Au final, les laboratoires furent évacués et abandonnés quand les infecté.e.s commencèrent à menacer la sécurité des scientifiques, le tout pour rejoindre le St. Mary's Hospital à Salt Lake City, en faisant une nouvelle base scientifique et politique pour les Lucioles. C'est également à St. Mary's Hospital que se termina un chapitre important de l'histoire des Lucioles, enterrant pour beaucoup le rêve d'un vaccin et d'une guérison.




mode de vie


Non loin de la force militaire de la FEDRA, les Lucioles ne sont absolument pas en reste lorsqu'il est question de combat et de résistance. Seulement, cette résistance n'est pas forcément la plus équitable entre tous.tes les membres. En effet, une forme de hiérarchie existe au sein même du groupe ; des membres assez simples et lambdas tout en bas de l'échelle allant jusqu'aux soldat.e.s d'élite, entraînés militairement et protégeant l'ancienne reine des Lucioles. Dans tous les cas, l'équipement d'un.e membre des Lucioles est varié, dépendant de sa place au sein du groupe, allant du simple pistolet et cocktail molotov jusqu'aux armures complètes et fusils d'assauts. Beaucoup de ces équipements dépendent également des pillages et des raids assurés par le groupe contre d'autres organisations comme la FEDRA ou les pillards. Néanmoins, dans de nombreux cas, les membres actif.ve.s du groupe sont généralement des êtres particulièrement entraînés ou qui vont être entraînés pour ça. Une période d'entraînement et de probation est notamment faite avant qu'un.e membre ne rejoigne vraiment le groupe. Une forme de période d'essai pour le.a membre, pour tester ses motivations et les forces, être sûr qu'iel est capable d'endurer la tâche, et surtout.. qu'iel n'est ni un.e espion.e, ni un.e traître.sse sous couverture. Il n'en demeure que les Lucioles est un groupe relativement cosmopolite et éclectique, trouvant autant des soldat.e.s, des contrebandier.ère.s, des médecins, des scientifiques, des cuistots, des chasseur.euses que des gens se contentant de simplement soutenir leurs idéologies et aider, de temps en temps.

when you're lost in the darkness...

... look for the light, slogan des Lucioles, scandé à toutes les échelles, mais pas uniquement. Ce slogan est également une référence toute particulière à la créature qui les représente, les lucioles officiant comme des petites billes de lumière dans l'ombre, le groupe se voit ainsi dans une période aussi sombre qu'elle l'est actuellement, sous un état martial. Leur logo n'est autre qu'une luciole, stylisée, que l'on retrouve derrière le médaillon que chaque membre se voit doté une fois qu'iel rejoint le groupuscule. Pendentif d'identification avec le logo au verso, et un numéro ainsi que le nom de la personne gravé au recto, c'est l'élément le plus emblématique d'un membre des Lucioles, qui n'est retiré que dans le cas le plus sévère : la mort. La présence de ce médaillon, en plus d'être un moyen simple d'identifier les membres entre elleux, était également un moyen de repérer les potentiel.le.s espion.ne.s qui s'amusaient à essayer d'infiltrer le groupe en copiant les couleurs vestimentaires - jaunes, marrons et vertes - des membres. Une sécurité, pour s'assurer que la FEDRA ne trouve pas la ruche.




aujourd'hui


2039 Suite à la mort de la Reine des Lucioles à Salt Lake City en 2034, les Lucioles commencèrent à perdre en motivation, mais également à essuyer de plus en plus de défaites contre les forces militaires encore en jeu dans les différentes villes. La perte de cette infime chance d'un vaccin joua également en défaveur des troupes des Lucioles, amenant ainsi à ce qu'un vote collectif soit fait, annonçant ainsi une dissolution du groupe, laissant ainsi mourir dans les ruines de Salt Lake City la version originale des Lucioles. Seulement... Quelques sources, au fil des années jusqu'en 2039, laissent à penser que le groupe subsiste encore, avec quelques irréductibles croyant.e.s. Des rumeurs annonçant qu'ils sont sur la côte ouest, du côté de Catalina Island en Californie. En attendant d'en savoir plus, un groupe clandestin a rejoint le Wyoming, dans la campagne en périphérie de Cheyenne. Certain.e.s membres se sont notamment infiltré.e.s dans la Zone de Quarantaine, au nez et à la barbe de FEDRA, et d'autres s'occupent de faire des raids pour récupérer des denrées et du matériel. Que ce soit ce groupe, ou la rumeur de l'ouest, iels gardent la même constante : celle de trouver un vaccin.  



descriptionV. LES GROUPUSCULES & FACTIONS EmptyRe: V. LES GROUPUSCULES & FACTIONS

more_horiz
jackson city

feel the peace

Jackson City ou encore juste Jackson est une petite ville localisée dans le comté de Jackson, dans le Wyoming. Seulement, en plus d'être une ville, il s'agit surtout d'une communauté ayant tout d'un refuge pour les différent.e.s survivant.e.s étant amenés à croiser le chemin des chasseur.euses et autres membres de la communauté. Agriculture, chasse, patrouilles, une image de vie normale, comme s'il était encore possible de vivre normalement.


les origines


Petite ville d'apparence sans histoires, perdue entre les terrains boisés et les collines du Wyoming, Jackson City devint rapidement le théâtre d'un sanctuaire et d'un refuge au milieu des terreurs du monde et de l'apocalypse. Originellement, seul un petit groupe de rescapés de l'apocalypse avait élu domicile dans les anciennes bâtisses de la ville, profitant des alentours plutôt calmes pour essayer d'y mener une vie plus simple, loin des infecté.e.s. Bien évidemment, la ville n'est pour autant pas épargnée par les hordes et les infecté.e.s qui continuent de rôder autant dans les ruines environnantes que dans les champs ou les forêts tout autour. La communauté a su résister aussi longtemps notamment grâce à la centrale hydro-électrique un peu plus loin dans les collines, mais c'est également à cause de cette centrale qu'elle est devenue une cible de choix pour les bandits venant à traverser les terres.
la communauté Si, à l'origine, il n'y avait que quelques petites maisons et rien de plus qu'un semblant de vie, c'est sous l'impulsion de Maria et son père que la ville prit un véritable essor, devenant à eux deux de véritables fondateurs pour cette ville, pour cette communauté, instaurant un système communautaire pour le bien de tous.tes. Bien qu'il n'y ait pas de maire.sse à proprement parler, Maria est toujours vivement sollicitée quand il s'agit de prendre des décisions pour le bien commun.
Loin de posséder des idéaux similaires à ceux des Lucioles ou des Séraphites quant à créer un monde meilleur, l'aspect de normalité qui s'est instauré au fil des années est devenu crédo parmi les membres de cette communauté qui n'a de cesse de grandir. Retrouver une forme de normalité au milieu d'une apocalypse qui laisse l'humanité de côté, sur bien des plans, essayer de ne pas perdre cette humanité au milieu de tout ça, c'est là peut-être la grande volonté qui était derrière la création de Jackson. En plus d'unir les forces de chaque survivant.e voulant se joindre à la cause pour renforcer le groupe. Pour et par le groupe, dans une générosité stupéfiante qui n'est pourtant pas à méprendre pour de la bêtise. Si la communauté s'est retrouvée une forme de normalité, et une stabilité somme toute relative dans un monde tel que celui-ci, elle ne s'est pourtant pas reposée sur ses lauriers, et se défendra à corps et à cris pour protéger cet idéal.


Lucioles — Bien qu'il n'y ait pas de pacte ou d'alliance à proprement parler, de nombreux.ses membres de la communauté de Jackson sont d'ancien.ne.s membres des Lucioles. Membres actif.ve.s ou passif.ve.s au sein des Lucioles, iels ont tous quitté le groupuscule pour des raisons différentes, parfois des conflits idéologiques irréconciliables ou simplement un changement de parcours qui ne fut jamais réprouvé par les Lucioles elles-mêmes. Dans tous les cas, cette présence d'anciennes Lucioles dans les murs de Jackson assure une certaine sécurité quant à ce que ces dernières cherchent à attaquer la communauté, quelques médaillons de membres permettant de dénouer un potentiel conflit. Pour ce qui est des autres communautés environnantes, Jackson cherche toujours une forme pacifique, proposant des marchés ou de l'aide, et bien que cela ne marche pas toujours, cela n'empêche pas les essais d'être perpétrés.




mode de vie


Dans son aspect le plus pur, Jackson City ressemble en tous points à une ville presque classique. Reposant sur l'énergie distribuée par la centrale - elle-même entretenue par d'anciens ingénieurs et des techniciens - la ville réussit à maintenir une vie presque similaire à ce que l'on aurait pu avoir avant l'épidémie. Présence de serres naturelles ou hydroponiques, champs tout autour de la ville, présence d'un bar mais également d'autres épiceries de proximité se basant sur la chasse et la pêche aux alentours, mais également boutiques liées aux réparations de matériel, ainsi qu'un ranch ou encore une école, une église ou une clinique, Jackson a tout d'une ville normale à l'exception de la sécurité érigée tout autour. Hauts murs et grillages, ainsi que des tours de guet disséminés aux quatre coins des frontières afin de s'assurer la sécurité de la ville et des habitants les moins endurcis au combat. Jackson bénéficie également des ruines et réminiscences des villes et villages aux alentours, comme Teton village, possédant un supermarché, une pharmacie ou encore une bibliothèque où il est parfois possible d'encore trouver des denrées. Dans tous les cas, à l'exception de l'usage de la centrale, la communauté et la ville est largement auto-suffisante depuis des années, bénéficiant de champs d'agricultures fertiles et d'élevages prospères pour compléter les chasses extérieures.

la défense et l'attaque

Bien que pacifistes en apparence, il n'en demeure que l'apocalypse a changé les règles du jeu, et rien ne peut empêcher la violence, surtout quand il faut protéger les siens. Et ce sens de protection n'a fait que se renforcer avec les années et le développement prospère de la communauté, c'est pour cela que des systèmes de patrouilles ont été mis en place afin de surveiller le périmètre jusque dans les montagnes et les collines et les villes environnantes, avec un système de journal à remplir à chaque checkpoint pour que chaque donnée y soit consignée et archivée pour plus tard. Non seulement ces patrouilles servent à vérifier les environs et protéger le territoire de potentiels bandits des grands chemins comme les Crotales mais également de surveiller la propagation des infecté.e.s et les potentielles hordes qui pourraient se rapprocher de la ville. S'iels ne sont pas équipé.e.s à l'image des militaires, iels ne sont pourtant pas en reste, bénéficiant notamment d'un support équin avec des chevaux à disposition, et de nombreuses ressources provenant des ancien.ne.s membres des Lucioles. Pistolets, fusils de chasses, arcs, arbalètes ou encore bombes artisanales et autres pièges, tout est bon pour se protéger non seulement des bandits mais des infecté.e.s qui pourraient courir dans la région.




aujourd'hui


2039 Contrairement à bien des organisations, Jackson n'a subit que peu de changements au cours de ces dernières années, si ce n'est la perte de quelques membres, mais dans un monde où l'apocalypse fait rage, cela n'a plus rien d'étonnant. La ville continue de prospérer, accueillant toujours des réfugié.e.s et des survivant.e.s provenant des terres ou même des villes, à condition qu'iels mettent la main à la pâte pour faire vivre la ville et la communauté. C'est bel et bien la seule condition quant à rejoindre Jackson ; si un temps de répit est donné à l'arrivée, une compensation en aide pour faire vivre la communauté sera demandée, qu'importe sous quelle forme. Que ce soit de l'aide dans les champs ou sur les terres d'élevage ou juste au ménage de certaines maisons et certaines échoppes. Le mantra n'a pas changé, tout se fait pour et par le groupe, dans le but collectif de prospérer et retrouver une forme de normalité.



descriptionV. LES GROUPUSCULES & FACTIONS EmptyRe: V. LES GROUPUSCULES & FACTIONS

more_horiz
les séraphites

feel her love

les séraphites aussi connus comme scars, est un groupuscule barbare, revenu aux origines de la vie humaine primitive. Chasseur.euse.s hors-pair, médecine à base de plantes et agriculteur.ices particuliers, les Séraphites sont retournés à une vie très simple, néanmoins courroucée d'un culte religieux visant à châtier et torturer leurs prisonniers dans des sacrifices. Aujourd'hui orphelins de leur ville d'origine, iels vivent cachés à Cheyenne, dans les hauteurs de la ville et les zones boisées.


les origines


Originaires de Seattle, les séraphites est un groupe ayant pour racines une idéologie prophétique guidée par une prophétesse auto-proclamée lorsque l'épidémie s'est déclarée. Culte religieux basé sur le dogme de créer un monde meilleur, à priori utopique et aux apparences inoffensives, il s'est largement perdu dans des techniques barbares et une violence qui ont fait la réputation des Séraphites au sein de Seattle, et même au-delà. Basés, pour le clan originel, sur l'île de Haven, anciennement la vieille ville de Seattle où trône encore les résidus de la fameuse space needle, iels sont notamment en guerre de territoire contre le Front de Libération de Washington, aussi appelé le WLF. Iels étaient également en conflit avec la Milice armée américaine, la FEDRA bien que ces derniers jugeaient le problème mineur.

Les Séraphites se sont formés à l'aube des premiers jours de l'apocalypse, lorsque l'armée tentait de reprendre les grandes villes aux mains des infecté.e.s, transformant ces dernières en zone de quarantaine. Seattle, toutefois, fut le théâtre d'un miracle. En effet, une surprise de taille attendait l'armée quand les autorités se rendirent compte qu'une petite communauté d'habitants avait survécu pendant six mois malgré les quartiers infectés. Une réussite et une survie rapidement mise sur le compte d'une femme aux instincts survivalistes. Cette femme devint rapidement la prophétesse du groupe quand elle déclara avoir eu une vision présageant la catastrophe, et que cette dernière n'était autre qu'une punition divine.
La Prophétesse Séraphite Si son nom s'est perdu au cours des années et la perdition de nombreux textes, il réside encore de nombreuses affiches et peintures murales à son nom. Elle fut exécutée par le leader du WLF, Isaac Dixon quand il jugea que sa santé mentale la rendait trop dangereuse pour être gardée en vie. L'actuelle leader, Emily continue de prêcher sa parole par le biais de slogans qui paraissent tout à fait pacifiques, avec l'aide des Anciens qui veillent au respect des préceptes.
Elle coucha ses idées sur papiers, dans des ouvrages visant à convertir le plus de survivant.e.s à cette idéologie, notamment celle visant à revenir à l'origine des sociétés, à un monde plus primitif, nouveau.

tw : violence — Croyances portées sur l'idée que l'humanité a été frappée par une épidémie comme forme de châtiment divin, iels ont la ferme intention d'instaurer un monde meilleur, bien mieux que celui avant l'épidémie. Sacrifices rituels et autres pratiques aux aspects barbares sur leurs ennemis et prisonniers, leurs pratiques sont violentes, allant jusqu'à la pendaison et l'éventrement des sacrifiés, faisant d'eux de véritables barbares primitifs aux yeux des autres communautés et les quelques infortunés croisant leur chemin.



mode de vie


Là où certains groupes ont encore usage de technologies plus modernes, comme les armes à feu ou produits médicaux modernes, les Séraphites répugnent l'usage de toute forme de technologie moderne. Que celle-ci soit versée dans le médical, la communication, le transport ou encore la force tactique sur le terrain, l'usage de toutes technologies est largement prohibée selon les préceptes de la communauté. Toutefois, malgré ce désavantage évident, notamment contre un WLF armé militairement, iels ne sont pas en restes de ressources. Amateur.rice.s d'armes silencieuses, telles que les armes de mêlées et les armes silencieuses avec des arcs, des flèches, des masses ou encore des couteaux, iels n'ont pour seules exceptions à ses armes les fusils de chasse ou les revolvers, tabou levé par les Anciens. Tactiquement parlant, iels font également usage de la végétation, et c'est pour ses zones notamment qu'iels se battent. Utilisation de camouflages et véritables experts de la médecine des plantes, en plus d'être des agriculteur.ices hors-pair. En plus de cela, iels se démarquent par leur ingénierie et leur adaptativité, permettant ainsi à des ponts suspendus entre les buildings et les immeubles d'exister, sur la base de vieilles grues, pour pouvoir traverser les villes comme iels l'entendent, et outrepasser les limites des terrains délimités par la guerre civile avec le WLF, notamment, ou encore d'éviter les zones contaminées d'infecté.e.s. Autre élément visant à appuyer leur maîtrise du camouflage : iels sifflent pour communiquer entre eux lorsqu'iels ne sont pas dans leurs terres. Tout un language créé pour elleux afin de pouvoir se distinguer et se comprendre en milieux hostile.

caractéristiques physiques

D'un point de vue visuel, les Séraphites sont reconnaissables par leur apparence presque primitive, mais pas uniquement. Iels partagent, pour beaucoup de membres, des cicatrices - visibles ou non - qui sont des signatures mais aussi des emblèmes de significations religieuses, comme le sourire de Glasgow, cicatrice courant de la commissure des lèvres, suivant la pommette et remontant presque jusqu'à l'oreille. Une cicatrice qui a été clamée, par la prophétesse, comme étant un reconnaissance de l'imperfection de la nature humaine. Questions vestimentaires, iels ne jouissent pas du même luxe que pour beaucoup d'autres groupes, se retrouvant avec des vêtements très similaires : pantalons et chaussures sombres, t-shirt blancs et des manteaux en cuir, avec une capuche. Il arrive que l'on en trouve portant des ponchos pour se protéger de la pluie diluvienne de Seattle. Une autre différence réside dans la différenciation genrée des membres du groupe : les hommes, pour la plupart, portent le crâne rasé, tandis que les femmes se trouvent avec des les cheveux tressés en couronne.




aujourd'hui


2039 Après l'annihilation de leur village par le WLF à Seattle et l'extermination de plusieurs grands membres du groupe, dont la leader proclamée ; un groupuscule composé de quelques Anciens, agriculteur.rice.s, chasseur.euses et autres membres moins spécifiques a décidé de quitter la région de Washington. Ayant suivi les traces d'Ellie Williams, iels ont rejoint la région du Wyoming, décidant de s'installer dans une zone non gardée par la FEDRA au sein de la ville de Cheyenne. Cachés sous la surveillance de la FEDRA, les Séraphites ont trouvé refuge dans les hauteurs des buildings mais également dans les zones boisées et laissées à l'abandon de la ville, afin de pouvoir retrouver leurs traditions et leurs habitudes. Iels prêchent toujours leur culte du nouveau monde, dictés par les quelques Anciens ayant survécus à l'attaque, et sont toujours des experts dans les différents domaines susmentionnés. Il leur arrive de rejoindre le territoire FEDRA et de raviver les vieilles tensions qui existaient auparavant. Néanmoins, iels demeurent bien plus discrets en attendant de voir leur groupe retrouver leur flamme d'antan.



descriptionV. LES GROUPUSCULES & FACTIONS EmptyRe: V. LES GROUPUSCULES & FACTIONS

more_horiz
the lost boys

feel the rebellion

The Lost Boys, ou les enfants perdus est un groupuscule ayant pris racine dans le cœur même des zone de quarantaine, au nez et à la barbe de la FEDRA. Défiance et rébellion sont légions, rêves brisés et perdition au milieu des eaux obscures d'une apocalypse qui a appris au plus jeune à ne plus croire les histoires de l'ancien monde jamais connu.


les origines


Originaires de Boston, ce groupe voit ses racines dans les rêves brisés des enfants de la FEDRA. Adolescent.e.s enchaîné.e.s aux dogmes militaires et à l'éducation stricte dictée par l'organisation fédérale, ces jeunes étaient perçus comme étant l'avenir et le futur du monde nouveau, sous l'étendard de la FEDRA, fusil d'assault en main. Seulement, les livres d'histoires n'ont plus leur pareil quand les espoirs sont brisés et que la réalité n'est rien de plus qu'un mur de neuf mètre de haut et la seule perspective de sortie étant pour se faire chasser ou chasser un.e infecté.e qui s'est baladé.e en dehors des limites. La vie en Zone de Quarantaine considérée comme un véritable mensonge et une restriction mensongère des libertés humaines, ce groupe par et pour les préceptes de rebellion, cherchant à trouver aux yeux du monde un peu d'humanité et de vérité dans les préceptes mensongers balancés par une organisation cherchant bien plus la guerre civile que la paix mondiale.
leader Pendant longtemps, cellui qui dirigeait le groupe des Lost Boys était complètement inconnu, des suites de prénoms, de noms qui s'entrecoupaient selon les villes, se divisaient sur les routes, et personne n'en savait rien. Aujourd'hui encore, la réalité demeure flou, tantôt un prénom féminin, tantôt un prénom masculin, tantôt un prénom agenre... le mystère demeure, mais il est certain qu'il s'éclaircit pour quiconque tombe sur une base des Lost Boys.
Dans tous les cas, ce groupuscule, ce sont les rejetons et orphelins de la FEDRA, abandonnés par celle-ci, et grandissant au milieu de rêves complètement brisés. Majoritairement composé d'adolescent.e.s et de jeunes adultes cherchant encore une voie dans ce monde où tout semble prompt à mourir et à détruire sans possibilité d'une rédemption pour un monde meilleur, ce groupuscule n'est peut-être pas le plus virulent, mais est probablement le plus mélancolique d'un monde qu'iels n'ont pas eu la chance de connaître.


FEDRA — Evidemment, étant des rejetons des formations militaires imposées en Zone de Quarantaine de la FEDRA, celle-ci ne voit pas d'un très bon oeil que leurs cadet.te.s se soient soudainement mis à leur tourner le dos pour x ou y raisons. Perdre un.e soldat.e est une chose, surtout au combat, mais perdre un investissement pour une idéologie, c'est quelque chose que la FEDRA n'apprécie pas du tout. C'est pour cette raison que les Lost Boys, dans toutes les villes où iels sont situés, sont traqués par la FEDRA qui cherche à ramener chacun.e des rejetons dans le bon chemin selon eux.




mode de vie


Idéalistes dans l'âme, utopiques dans les yeux, iels rêvent beaucoup, les Lost Boys. Iels rêvent d'un monde meilleur, d'un monde à l'image de l'ancien temps qu'iels n'ont jamais connu et ne connaîtront jamais autrement que par les livres et les films trouvables entre deux étagères. Cantonnés aux murs et aux vestiges des villes, sous la croupe d'une FEDRA détestée qui a su leur inculquer les rudiments d'une vie qu'iels n'auront jamais la chance de connaître. Iels sont les rats de la FEDRA et s'attaquent à l'organisation dans un secret qui ne fait que briller leur nom au milieu des rues, bien qu'iels soient traqués par la FEDRA elle-même quand iels se font un peu trop remarquer. Véritable réseau de bouche à oreille sur la base de ragots et de circuits d'informations, mais également d'affiches et de graffitis improvisés dans les villes où iels sont, c'est sur cette base qu'iels sont trouvables pour qui cherche et connaît les symboles du groupe. Planqués dans les égouts et autres bâtiments désaffectés, nettoyés de tous potentiels infecté.e.s pouvant encore traîner ici bas, leur réseau est planqué, leurs planques le sont tout autant. Drôle de mélange entre vieilles tentes et autres cabanons de bois, vieux tissus et autres objets trouvés dans les décombres, chaque planque, dans chaque ville, trouve l'ADN du groupe dans son esprit communautaire où se mélangent les vieux esprits de pop culture de l'époque et l'instinct survivaliste qui vient avec l'ère.

la défense et l'attaque

Très similaires aux solitaires dans les faits, les Lost Boys s'équipent iels le peuvent. Restes de cargaisons, de raids ou encore pillages faits sur des entrepôts d'autres groupuscules, iels font vraiment avec ce qu'iels ont sous le coude. Toutefois, ça ne les empêche pas d'être novateurs et de s'amuser parfois à créer des prototypes d'armes avec des éléments trouvés sur le terrain. Bombes artisanales, machettes customisées, armes modifiées, tout est bon pour pouvoir se défendre mais également attaquer, bien que leurs attaques ne soient jamais revendiquées par le groupe lui-même, laissant le plaisir aux autres de prendre l'honneur de certains de leurs actes. Question défense, il est évident que c'est probablement tout aussi archaïque que certains de leurs équipements d'attaque, clotures et pics, pièges pour protéger les campements et autres planques, parfois le luxe d'armures abandonnées par les groupuscules plus armés pour les soldat.e.s du groupe.




aujourd'hui


2039 Situation plutôt tranquille dans la mesure où le groupe est plutôt récent, iels s'instituent de plus en plus dans les villes occupées par la FEDRA. A l'image d'émissaires voguant de villes en villes, le nom du groupe est soufflé aux quelques recrues de la FEDRA pouvant être amenées à la cause, renforçant les rangs et réduisant ceux offerts à l'organisme gouvernemental. Fragile constitution, mais force dans leur nombre qui fait que grossir, peut-être que ce groupe deviendra l'un des plus importants au fil des années.



descriptionV. LES GROUPUSCULES & FACTIONS EmptyRe: V. LES GROUPUSCULES & FACTIONS

more_horiz
WLF

feel the freedom

le WLF, ou encore les Wolves ou le Front de Libération de Washington, est une faction militarisée essentiellement située dans la ville de Seattle et ses environs, entretenant une guerre de quelques années avec les Séraphites pour le contrôle de la zone, bien que cette guerre se soit achevée par la victoire du WLF.


les origines


Basé en plein cœur de Seattle, le WLF se veut comme un front militarisé uni contre la FEDRA et pour la libération des villes du joug militaire des zones de quarantaine. En effet, les origines même de la création de ce front et de ce groupuscule sont autour de cette rébellion et de cette envie même de liberté pour les civils et autres citoyen.ne.s. C'est notamment au milieu des années 2020 que la création eu véritablement lieu, lorsque les expulsions, les rationnements de nourritures, et les exécutions publiques commencèrent à être de trop pour beaucoup de civils. Le couple Patterson commença à se faire surnommer les Wolves, essayant de se battre pour de meilleures conditions de vie pour les civils, et petit à petit, le groupe commença à grandir sous l'égide d'une propagande complètement anti-FEDRA. Rien qu'avec cette simple idée d'être contre le gouvernement martial établi, le groupe pouvait rallier nombre de citoyen.ne.s mécontents et c'est comme ça qu'ils commencèrent à devenir un véritable groupe. Petit à petit, les actions anti-FEDRA prirent de l'ampleur, allant jusqu'à des attaques pour voler les rations et matériaux militaires, et toutes ces premières actions amenèrent à ce qu'iels soient fichés comme terroristes recherchés.
Patterson Emma et Jason Patterson n'étaient, à l'origine, que deux simples civils ayant vécus avec déception la force d'une expulsion mais également les rationnements de nourriture. Ils se sont rapidement rendus compte des torts d'un état martial, et c'est pour cette raison qu'ils ont commencés à se battre pour de meilleures conditions de vie. Ils furent toutefois exécutés par la FEDRA, laissant ainsi la place de leader à Isaac Dixon qui forma le WLF tel qu'il fut pendant des années.
L'exécution du couple fondateur fut l'évènement à mettre le feu aux poudres, et à amener les actions du WLF à être plus violentes, plus agressives. Une véritable guerre civile éclata entre les représentants et soldat.e.s de la FEDRA et les membres du WLF, et avec une force de frappe particulièrement massive, la FEDRA fini par abandonner la ville et essayer de batailler en retraite. C'était sans compter l'appétit du WLF qui s'assura de capturer les membres restants en ville, et de chasser tous ceux qui pouvaient encore rester.


avant les séraphites — avant même le réel problème avec la seule communauté restante à Seattle, il était désormais question de prendre réellement le pouvoir sur la ville, amenant ses propres difficultés, comme celles d'acheminer les denrées et ressources au travers de la ville. Une ville qui avait, malgré tout, été contenue des infecté.e.s par les forces militaires désormais disparues. Rapidement, il n'était plus question de libération mais bien d'allégeance et de loyauté devant être promise pour être certain.e. de ne pas être tué sur place ou expulser dans les zones infectées. Finalement, les zones contrôlées par le WLF ressemblaient bien plus aux ZQ de la FEDRA qu'iels ne voulaient le laisser paraître, entre rationnements, couvre-feu, et un lot de règles à suivre particulièrement imposant. Leur problème de transport de denrées s'arrêta lorsque le groupe décida de s'exporter et d'installer absolument tout le monde dans un seul endroit, le SoundView Stadium, le WLF ne laissant aucune pitié à ceux refusant d'obéir. Toutefois, malgré l'apparence dure de ce groupe, iels réussirent à obtenir des exploitations et à faire de leur stade un lieu à peu près sécurisé et technologiquement avancé, avec des turbines, des panneaux solaires. Cette communauté possédait aussi une forme de normalité pour celleux qui n'étaient nullement entraînés au combat : bibliothèque, école, ferme, et bien évidemment des lieux militarisés.




mode de vie


le conflit avec les séraphites

Tandis que le WLF se restreignait autour de lui même et de ses zones, les Séraphites se faisaient de plus en plus présents. L'hostilité du WLF n'était terriblement pas bien perçu, et leur brutalité n'en faisait pas des voisins des plus amicaux. Les choses tournèrent bien plus gravement le jour où le leader des Séraphites décida d'annihiler un peloton de ressources, détruisant des véhicules et tuant des soldat.e.s. C'est ce qui marqua le début de la guerre entre les Séraphites et le WLF. Une guerre où chaque camp commis son lot d'atrocités, l'un comme l'autre, chaque camp utilisant les ressources à disposition pour soit gagner du terrain soit s'offrir de meilleures possibilités d'attaque o u de défense. Un cessez-le-feu s'acta pourtant aux alentours des années 2030, avec un traité demandant aux Séraphites de ne plus interférer avec les patrouilles visant à transporter leurs ressources, et que le WLF ne les dérange pas sur leur île. Une drôle de co-existence qui fut de courte durée quand le traité fut brisé par des adolescents, et que les conflits reprirent de plus bel.




Si, à l'origine, le WLF n'était qu'un groupuscule composé de quelques émeutier.ère.s et quelques civils particulièrement en colère, cette vision simpliste s'est largement améliorée avec le temps. Le WLF n'est plus uniquement composé de civils sans défenses, mais bien de soldat.e.s entraînés et armés pour tuer.  En plus d'entraînements poussés, iels possèdent également la majorité de l'équipement militaire laissé par la FEDRA, avec au menu des fusils semi-automatiques, des pistolets au calibre militaire, des bombes artisanales et militaires, des fusils de chasse, etc etc. Tout un éventail d'armes qui ne laissent clairement pas le choix de la survie au hasard, et surtout, font d'elleux des proies loin d'être faciles à capturer et encore moins à tuer. D'autant plus qu'iels ont parfois recours à des chiens de garde, de quoi appuyer leur supériorité. Leur force réside également dans leur nombre. Iels sont nombreux, couvrent énormément de terrain sur toute la ville et tous leurs secteurs, avec des patrouilles régulières et de nombreux transports pour des ressources. A l'image d'une armée, le WLF possède lui-aussi une hiérarchie stricte que chaque membre se doit de suivre. S'iels reposent essentiellement sur la force brute et leur nombre, ils ont également des manques en armure, n'ayant pu bénéficier des restes de l'armée avant qu'elles ne soient réquisitionnées par les pillards. Iels possèdent toutefois de nombreuses unités médicales pour pallier à ça.


aujourd'hui


2039 Suite à la mort du leader, Isaac Dixon, le WLF s'est laissé partir à la dérive, entre divergences d'idées et une gouvernance difficile à prendre pour un groupe aussi large. La base principale et l'essentiel du groupe demeure toutefois à Seattle, à l'exception d'un groupuscule qui s'est extrait des idéaux et de la main de l'organisation principale, se trouvant en désaccord avec le bordel formé par la mort du leader. Après de nombreux mois à diverger d'un lieu à l'autre, iels ont finalement rejoint le Wyoming, jouant le rôle de vadrouilleurs pour l'instant, se contentant de longer les bordures fermées de la ville et de grouiller dans les campagnes.



descriptionV. LES GROUPUSCULES & FACTIONS EmptyRe: V. LES GROUPUSCULES & FACTIONS

more_horiz
les crotales

feel the violence

les crotales, bandits des grands chemins, baroudeur.euses, pillards et autres indigents sans foi ni loi, les crotales sont reconnus comme étant la plus grande menace pour qui s'échappe des murs des villes et des villages sécurisés. Ennemis communs à tous celleux qui souhaitent un peu de tranquilité dans ce monde bien plus brutal, iels n'ont aucune loi si ce n'est celle du plus fort.


les origines


Groupuscule aux origines diverses et variées, le cœur du groupe a pourtant trouvé naissance à Santa Barbara en Californie. Gang militarisé aux airs de bikers, représentés par un serpent autour d'un crâne comme emblème de leur propre fléau, ils répondent malheureusement aux stéréotypes qui ont été longtemps donnés aux bikers. Le groupe a vu ses origines peu de temps après le début de la pandémie, réunissant d'ores et déjà tous les survivants les plus violents et les plus agressifs se trouvant dans les environs de Santa Barbara. C'est notamment grâce à cette violence qu'ils ont réussi à se militariser de la sorte, mais également grâce à leurs méthodes bien plus barbares que d'autres groupes. Iels sont bien loin d'être des enfants de chœur, et leur moralité n'a d'égal que la propre violence des infecté.e.s et du monde en lui-même.
le dôme Gigantesque hôtel aux allures de Capitole Californien, le dôme n'est autre que leur QG principal à Santa Barbara. Véritable théâtre de toutes les atrocités faites par les membres les plus agressifs du groupe, rares sont les prisonniers retrouvant la lumière du jour s'iels sont malheureusement capturés.
Iels n'ont aucunement la volonté d'un monde meilleur, s'amusent et s'inspirent même de tout ce que cette apocalypse a engendré et profitent à foison de ce que le monde est devenu. Détestés par la majorité de celleux foulant les différentes régions, et pas uniquement l'ère de Californie, leur réputation est grandissante grâce à leurs actes violents et leurs différents attentats, dans les villes, dans les villages, et même sur des groupes d'infecté.e.s. Moralité complètement exacerbée par la possibilité de pouvoir tout faire sans aucune répercussion, iels sont un danger pour absolument tout le monde.


alliance avec les hunters — lorsqu'une partie du groupe original se décida à se scinder et quitter les côtes californiennes pour chasser sur les routes américaines, les Crotales croisèrent le chemin des Hunters, des bandits issus de la ville de Pittsburgh. Groupuscule s'étant créé autour de quelques survivant.e.s et rescapé.e.s de la zone de quarantaine de la ville, ayant des méthodes suffisamment similaires aux Crotales pour être acceptés au sein du groupe. Leurs guerrillas contre la FEDRA devenues presque notoires pour qui traînait dans les environs de la ville, amenant des raids et des attentats plus violents les uns que les autres, refusant autant l'autorité de la FEDRA que les Lucioles dont les actions étaient jugées encore trop calmes.




mode de vie


tw : torture, esclavage, violence

Si les Hunters ne sont pas des enfants de choeur, les Crotales sont bien pires, notamment pour le groupe original encore basé à Santa Barbara et au dôme. Le groupuscule actuel, couplé aux Hunters, s'est largement assagi, mais certains membres gardent encore les stigmates des méthodes utilisées par le groupe original. Des méthodes barbares, revenues à une primitivité répréhensibles à toutes les échelles, allant de la "simple" torture de prisonnier.ère.s jusqu'à l'esclavage complet de ces dernier.ères. Camps et carrières créées spécialement pour les prisonnier.ère.s du groupe, attaché.e.s à des piquets et des piloris, à qui le virus était parfois innoculé de force pour pouvoir s'offrir des infecté.e.s de compagnie servant de chiens de garde pour le groupe. Leurs méthodes ont attirées le dégoût de tous ceux ayant croisés leur chemin.




Néanmoins, le groupuscule actuel, composé de la fusion d'ancien.ne.s Crotales et de quelques Hunters, s'est largement assagi, et pour beaucoup, ont oublié ces méthodes barbares. Il leur arrive encore d'utiliser les infecté.e.s et les hordes à leur avantage pour leurs pillages et leurs raids, mais toutes méthodes visant à transformer de potentiel.le.s prisonnier.ère.s ou à les utiliser comme des esclaves ont été abandonnées et laissées sur la côte ouest. Iels demeurent un groupe particulièrement armé et militarisé usant d'anciennes armes laissées par les forces armées du gouvernement ou même des attirails artisanaux. Résolument confiant.e.s en présence d'infecté.e.s, ce groupe se trouve souvent en présence de ceux-ci et n'hésitent certainement pas à les utiliser lorsqu'iels se lancent dans des raids, des pillages et des attentats. Bien que moins violents que le groupuscule originel, iels ne sont pas à sous-estimer, autant par leur important attirail militaire que par leurs techniques sans foi ni loi.


aujourd'hui


2039 Groupe reconstitué de Crotales mais également de Hunters, iels ont une notoriété presque nationale pour quiconque traverse le pays. Présents un peu partout sur les routes, iels sont également dans le Wyoming, venant piller et saccager les fermes et autres petits villages indépendants, s'attaquant parfois même à Cheyenne malgré le contrôle imposé par la FEDRA. Iels n'ont absolument peur de rien, et surtout pas de se salir les mains. La violence est leur mantra de prédilection, comme cette loi du plus fort en vigueur, rendant l'élection d'un leader du groupe particulièrement aléatoire et selon les envies et pulsions occasionnelles des membres. Iels demeurent la plus grande menace des villes et villages, malgré un nombre parfois plus restreint que les forces présentes dans ces derniers. Et cela ne fait pas exception dans le Wyoming, où iels sont l'engeance numéro une, ex-aequo avec les infecté.e.s.



descriptionV. LES GROUPUSCULES & FACTIONS EmptyRe: V. LES GROUPUSCULES & FACTIONS

more_horiz
les civils

feel the normalcy

les civils, dénominateur commun de celleux qui vivent encore dans les villes, que ce soit sous le joug des Zones de Quarantaines ou dans la liberté d'autres communautés éparpillées. Iels sont le nerf de la guerre, celleux qui ne peuvent e joindre au combat contre les infecté.e.s et cherchent à retrouver la normalité de la vie d'avant, parfois sans même la connaître.


les origines


Sans réelles origines fixes, iels sont simplement les habitant.e.s, les citadin.e.s des villes ou des communautés autres que celle de Jackson City. Citoyen.ne.s jurant pour la normalité et le retour à ce que pouvait être l'ordre avant l'effondrement de la société, iels sont généralement du côté de la barrière où le manque de force et de ressources obligent à se retrancher derrière les forteresses et les murs des communautés, sans pouvoir se défendre sans l'aide du groupe. Bien souvent des civils sous le joug et la défense de la FEDRA, iels vivent selon les règles et les lois instaurées par l'Etat Marshall. Toutefois, iels peuvent être également des individus d'autres communautés, que celles-ci soient éclatées sur les terres du Wyoming ou sur les frontières de la région. Pour beaucoup, iels sont de celleux qui ont connus l'ancien monde, de celleux qui peuvent encore raconter à quel point les rues de New York étaient bondées et animées lors de ce début des années 2000. Des énergumènes se voulant porteur.euse.s du passé et des souvenirs qui sont contenus dans leurs précieuses mémoires, comme des témoignages vivants de ce qu'était le monde avant qu'il éclate. C'est peut-être pour cette raison qu'iels cherchent bien plus à retrouver la normalité de ce temps plutôt que de se battre contre le mal vivant derrière les hauts murs. Difficile d'imaginer être incapable de réellement se battre pour sa vie, et seulement profiter du confort de la protection d'autrui, mais parfois.. c'est la solution quand on ne peut prendre la machette ou le pistolet pour se défendre. C'est parfois quand on en a trop vu qu'on refuse de lever à nouveau l'arme, même pour soi.


nerf de la guerre — Ces civils, bien que très rarement dans les équipes de patrouilles ou parfois les soldat.e.s ne sont toutefois pas totalement inutil.e.s, bien au contraire. Agruculteur.rice.s, marchand.e.s, couturier.ière.s, boucher.ère.s, boulanger.ère.s, administrateur.rices, etc., tant de professions qui sont encore bien nécessaires dans ce monde où l'ordre originel du XXIème siècle s'est écroulé. S'iels ne sont pas la chaire à canon partant défendre les villes et les communautés des hordes qui passent dans les terres, iels sont celleux qui font vivre les communautés en interne par leur importance dans des catégories que l'on jugerait futiles mais qui sont pourtant bien le coeur d'une vie en communauté.




mode de vie


Leur mode de vie, pour ces civils de grandes zones urbaines ou des villages de campagne, est bien différent selon la ville, la communauté. S'il est question de civils trouvant refuge dans les zones de quarantaine, iels dépendront des lois et de l'état Marshall instauré par l'organisme gouvernemental. Liberté minimal, couvre-feu et peu de chances d'un jour s'évader en dehors des murs sans finir par être tué par les soldat.e.s qui gardent les murs, travail obligatoire, généralement désigné par les administrateur.ices de la FEDRA, c'est une vie dictée par l'armée et par le devoir plus que la liberté devenue une utopie abandonnée. Lorsqu'il est question de civils de communautés annexes à celle de Jackson, les règles sont assouplies, plus  légères puisqu'elles ne dépendent généralement pas de ce qui a été instaurée par la FEDRA. Cela n'empêchera bien évidemment pas des communautés de se baser sur ce régime, notamment pour le travail obligatoire afin de faire vivre la dite communauté mais la liberté sera bien plus ressentie qu'au sein des murs d'une zone de quarantaine où tout est prompt à être scruté et vérifié jusque dans les détails, jusque dans la prise de la température sous contrôles aléatoires tous les deux jours.  

la défense et l'attaque

Encore une fois, ce domaine dépend totalement de là où l'on se trouve. En Zone de Quarantaine, il est évident que la sécurité ne dépend pas de soi mais bien de l'armée surveillant les murs, bien que cela ne donne pas une sécurité pleine et entière à la ZQ. Après tout, il s'agit de l'armée, et d'un organisme armé, certes gouvernemental, mais avec ses propres défauts, notamment dans sa gestion de la population. Une forme de terreur s'est largement instaurée dans les murs, imposant aux civils à rester dans les rangs et sages sous peine d'avoir des problèmes avec les quelques soldat.e.s patrouillant dans les rues. Tout comportement suspect est reporté, et il est de bon ton de se tenir à carreaux. Pour ce qui est des communautés alternatives... C'est un peu au petit bonheur la chance, et selon la solidité de la communauté en elle-même. Pour beaucoup, il y a des patrouilles autour des murs et une sécurité relative face à l'inconnu et l'imprévisibilité des hordes, et il est toutefois recommandé de savoir utiliser une arme dans le cas où les sécurités de la communauté ne suffiraient pas. La liberté est bien plus permise, et si le climat est plus prompt à la légèreté, la sécurité est bien plus dommageable que ce que l'on trouve dans les zones de quarantaine. Tout dépend de ce que l'on veut sacrifier. Liberté ou régime tyrannique.




aujourd'hui


2039 Au fil des années, les communautés se sont agrandies, que ce soit dans le Wyoming ou ailleurs, prenant une forme d'habitude à vivre dans ce monde, d'une manière différente tout en cherchant la normalité d'avant. Il est de moins en moins difficile de s'intégrer dans une communauté, mais à l'inverse, il est de plus en plus compliqué de se trouver un nid dans une zone de quarantaine sans être tué à vue par les soldat.e.s qui gardent les portes. Le régime des ZQ sous le commandement de la FEDRA s'est durci, bien plus à cran avec tous les groupuscules qui menacent leur souveraineté, et il est difficile de dire s'il fait bon vivre dans les zones de quarantaine, malgré la sécurité plus grande qui y est présente.



descriptionV. LES GROUPUSCULES & FACTIONS EmptyRe: V. LES GROUPUSCULES & FACTIONS

more_horiz
les solitaires

feel the loneliness

Les Solitaires, sans aucune autre dénomination connue si ce n'est que ces vagabond.e.s, personnalité.e.s dispersé.e.s sur les routes, dans les forêts, dans les villes, ces fantômes utilisant toutes leurs ressources pour pouvoir survivre face à la dureté du monde. Survivant.e.s de l'ancien monde, pionnier.ère.s de l'actuel, le monde ne serait pas le même sans elleux.


les origines


Sans aucune origine véritable et distincte, les Solitaires sont véritablement dispersés partout, originaires de partout, même si, à l'évidence, depuis le début de l'apocalypse, iels sont cantonnés au sol américain ou, tout du moins, au continent américain. En effet, l'apocalypse ayant rapidement condamné les voyages internationaux, nos petit.e.s solitaires ne peuvent qu'être au moins des habitant.e.s ou des voyageur.euse.s du continent américain. Dans tous les cas, il s'agit là de vagabond.e.s, celleux qui ont refusés - par choix ou non - la vie en groupe ou la vie en ville, préférant s'isoler et mettr en péril leur vie à se débrouiller seul.e plutôt que de se plier à des règles imposées par d'autres. Une vie libre amenant des sacrifices à fournir mais également des contraintes et des risques non négligeables.
exemplarité Si la majorité de nos vagabond.e.s sont totalement anonymes aux yeux du monde et aux yeux des différents groupuscules si ce n'est que comme de potentiel.le.s allié.e.s ou ennemi.e.s, certains solitaires ont réussis à se percer un nom au-delà des frontières. Un dénommé Bill s'est longtemps fait connaître pour un quartier de ville qu'il avait entièrement fortifié pour se protéger des infecté.e.s et des intrus.
Impossibles à caractériser, iels sont tous.tes différent.e.s, survivant avec des méthodes bien distinctes ou parfois très similaires. Le seul point commun à tous.tes réside dans leur renoncement à une vie en groupe, par choix ou non, indéfiniment ou non. Ces baroudeur.euses préfèrent la vie dans les bois, la vie seul.e.s ou avec quelques rares personnes - pas assez pour former un véritable groupe ou une communauté. La vie est difficile, bien plus qu'au sein d'un groupe, mais iels trouvent les moyens de survivre et surtout, de faire en sorte que ce sacrifice en vaille la peine.


communautés — De par leur diversité et leurs différences de statuts, d'origines, de passé, il n'est pas rare que certain.e.s solitaires soient d'anciens membres de communautés encore existantes. Qu'iels aient décidé de quitter les rangs par choix ou par obligation, il n'est pas impossible que des tensions résident parfois, résidus de quiproquos d'autant plus présents dans un monde où tirer est bien rapide. Dans tous les cas, il demeure difficile de catégoriser chaque solitaire tant leur diversité fait leur force mais aussi leur importance dans un monde tel que celui-ci.  




mode de vie


Dans les faits, le mode de vie des solitaires n'est pas si différent des personnalités vivant dans les groupes et communautés. Pourquoi le serait-il? Après tout, iels vivent des mêmes choses et il n'est pas rare de voir des solitaires s'installer dans des fermes abandonnées et s'essayer à l'agriculture par eux-mêmes. Bien sûr, ce n'est pas non plus une condition régulière ni même un tableau qui se voit couramment, mais ce n'est pas non plus quelque chose d'extraordinaire et rare au possible. Toutefois, la majorité des solitaires se contentent essentiellement de pillages d'anciennes enseignes et boutiques qui n'auraient pas encore été pillées, ou même encore de maisons, d'appartements, parfois même de champs cultivés par des communautés ou des vols de ressources auprès de la FEDRA. Pour certain.e.s, la chasse, la pêche ou encore la cueillette sont des pratiques plus que courantes pour qui voudrait s'essayer à la vie en solitaire. Certain.e.s, par ailleurs, bien que se refusant à la vie en groupe ou en communautés, viennent à s'accorder avec certains groupes et communautés afin de survivre. Partages et troc de denrées, de ressources ou simplement des échanges de services pour pouvoir profiter de quelques ressources, il n'est pas rare du tout de voir apparaître des alliances de ce type. Éphémères, parfois solides, parfois durables, elles existent.

la défense et l'attaque

Comme pour tout le reste de leur mode de vie, leur armement et leur défense sont essentiellement basées sur ce qu'iels trouvent et ce qu'iels peuvent fabriquer. Lorsque la chance sourit, c'est tout un lot d'armes abandonnés par des pillards qui ont été décimés ou encore des denrées et matériaux laissés par la FEDRA dans une zone dangereuse. Seulement, la majorité du temps, il s'agit de fabrications artisanales : bombes, kits médicaux, cocktail molotov, machette ou arme de mêlée améliorée, fumigènes, tout un éventail qu'il est nécessaire de connaître et de pratiquer lorsque l'on se trouve seul.e face au grand inconnu d'un monde apocalyptique. Certain.e.s se reconvertissent utiliser les infecté.e.s pour s'offrir des protections supplémentaires, de même que d'autres s'enferment dans des zones abandonnées dans des villes elles-mêmes laissées pour compte ou encore des fermes isolées et en font des forteresses. Tous les moyens sont bons pour survivre, après tout.




aujourd'hui


2039 Situation véritablement inchangée pour ce groupuscule qui continue son propre bout de chemin selon les personnalités qui ont choisies ce mode de vie. Chaque parcours est différent, dépendant d'un tout un chacun, mais il est certain que, ces dernières années, les alliances entre groupes et solitaires se sont largement plus répandues, de même qu'il est de moins en moins rares de voir des fermes isolées être occupées par des petits groupes de quelques personnes cherchant une vie tranquille loin des foules des villes ou de l'agitation des communautés trop resserrées.



descriptionV. LES GROUPUSCULES & FACTIONS EmptyRe: V. LES GROUPUSCULES & FACTIONS

more_horiz
privacy_tip Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
power_settings_newSe connecter pour répondre